80% des plaintes pour violences conjugales sont classées sans suite.
90% des plaintes pour agressions sexuelles, harcèlement au travail, sont classées sans suite.
Le parcours judiciaire est connu pour sa complexité notamment au niveau de l’acceptation de preuves.
La seule chose qui a une importance, c’est ce que je suis capable de prouver devant une juridiction. Je classe parfois des procédures car je ne peux pas prouver les faits.
Philippe Astruc, Procureur de la République, Parquet de Rennes 8 mars 2020
HeHop est la première application qui se propose d’être le bras armé technologique de la violence en huis clos tout en servant la justice et l’intérêt général.
De la capture des preuves (photos, vidéos), à leur exploitation par les autorités compétentes, les preuves apportées sont recevables et le système judiciaire peut alors se mettre en marche.
Ces éléments sont donc transférés automatiquement vers un coffre-fort numérique (enregistrement des fichiers sur blockchain et sécurisation sur serveur crypté) puis peuvent être mis à disposition des autorités judiciaires.
Si l’appareil est détruit, les fichiers restent sur le serveur HeHop ce qui permet tout d’abord de ne pas les perdre mais aussi de laisser du temps à la victime si cette dernière souhaite prendre du temps avant de porter plainte.
Initié en 2019, par Sandy Beky, experte en leadership et en économie circulaire, le projet remporte rapidement plusieurs prix comme le Tournoi Européen de l’Innovation Sociale (168 projets, 15 finalistes, 21 pays) organisé par la BEI.
Grâce à ces fichiers infalsifiables, aux diverses certifications et à l’horodatage blockchain, tout le monde peut agir et empêcher d’autres non-dits, violences, harcèlements…
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